Les interstices et l’invisible
Il existe des parts invisibles, discrètes, silencieuses. Ces moments discrets, que l’on remarque à peine, ces gens qui se taisent, que l’on remarque à peine, ces choses et qualité qu’on ne voit pas et que l’on remarque à peine. Et pourtant, ces silences, ces espaces entre les lignes ont le pouvoir de nous combler de joie et de nous remplir d’énergie.
Yin Yoga au Dojo Zen
Il y a des lieux qui attirent, qui inspirent, qui nous portent. Une énigme pas encore percée, des pays encore gardés dans le domaine du rêve, de l’imaginaire. Ces lieux où se croisent une certaine forme d’idéal que l’on plaque et une part de soi-même. Depuis un moment, l’Asie, la Chine, le Japon, la culture du dépouillement, de l’essence, du beau, du soigné, de la nature m’appellent. Et dernièrement, c’est la méditation Zen qui m’attire. Ou plutôt l’espace autour, le rituel, le mouvement qui s’y perpétue, les moines vêtus sobrement, les vibrations des percussions et des bols chantants.
Alors c’est tout naturellement que j’ai eu envie d’offrir un moment mêlant le Yin et le Zen, l’immobilité et la sobriété, l’art de trouver le beau en soi, dans un vide devenu plein. Ce moment est à deux pas du square des peupliers, dans le 13ème arrondissement de Paris. Une bulle de Yin Zen à la croisée de la Chine et du Japon sous la coupole de la philosophie asiatique.
Les places seront limitées, alors n’hésitez pas à vous inscrire dès maintenant pour recevoir les prochaines dates des séances de Yin Yoga au Dojo Zen de Paris.
Oxygéner sa vie
Valoriser le “rien”, les moments où l’on a besoin de se retirer, d’appuyer sur pause, de ne plus faire de bruit, de ne plus agir pour se prouver, pour montrer, pour dire que l’on fait ceci ou cela, serait une petite révolution pour nos cultures occidentales. Elle se profile déjà dans l’air du temps mais elle est encore sourde et lente. Et pourtant, se dépouiller, faire le vide, c’est préparer sa renaissance.